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Le jugement, ami ou ennemi ?





Pendant longtemps j'ai totalement rejeté le jugement.

J'étais complètement anti jugement.


Je me disais que c'était nul, que de juger était contre productif, que de critiquer quelqu'un ne faisait pas avancer les choses d'un iota. Qu'en plus, juger sans avoir tous les détails était inutile.

Comment je peux juger quelqu'un qui fait quelque chose quand je ne sais pas ce que cette personne a vécu, quelles sont les croyances qui l'ont fait grandir et les attentes qu'on a pu porter sur elle ? Mais ça, vous vous en doutez, c'était avant...



Jusqu'à ce jour, où j'ai lu un article de Communication Non Violente.


Un article qui parlait de l'importance du jugement, à partir du moment où l'on oubliait pas qu'il ne s'agissait que de notre propre jugement, de notre vision et pas de la vérité.


Et effectivement, c'est parce que je juge tel ou tel acte que je peux choisir d'être d'accord ou pas et que je peux définir mes valeurs.

Si je ne juge pas que tel cavalier, qui pratique le rollkur pour aller dans les extrêmes, ne fait pas les choses telles que je les ferais, comment me positionner et choisir de faire les choses d'une autre façon ?

De la même manière, si je juge que mon cheval est "dangereux" pour moi, ça me permet de travailler certains points et de le rendre plus confortable pour moi…

Vous voyez le topo ?


L'essentiel étant effectivement de ne jamais oublier que notre jugement, tout tranché ou bienveillant qu'il soit, n'est que le reflet de nos propres peurs, croyances et désirs.

Tant que l'on garde ça en point de mire, écouter les jugements que l'on porte sur les choses, en prendre note et réfléchir à ce qu'ils impliquent dans notre vie, dans nos actions, peut nous mener à évoluer.


Curieux, intéressé ? Contactez-moi pour qu'on en discute !


Et toujours le workbook gratuit pour ne plus se laisser déborder par ses émotions avec son cheval !

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